Seth Godin est une super star, mais pas encore chez nous. On lui doit quelques best-sellers en marketing ou sur les réseaux sociaux
Je citerais « Permission marketing », « la vache pourpre », ou encore, « tribu ».
J’ai des problèmes avec les ouvrages de Seth :
– Je les trouve mal structurés
– Je trouve que l’auteur confond exemples et démonstration
– Je trouve que même si ses livres sont très courts, ils ont quand même tous 50% de pages en trop.
Je lis pourtant presque tous ses livres :
– Parce qu’il traitent toujours de sujets qui m’intéressent
– Parce que je suis maso et que je me dis que le suivant sera meilleur
– Parce que comme il est beaucoup lu, je suis obligé de le lire aussi pour ne pas passer pour un plouc à mon travail.
Ou bien encore parce que j’aime tout ce qui clignote, comme tous ces ouvrages avec des titres énigmatiques (là c’est très large, ca va de « Pour qui sonne le glas » à « Le Dip »).
Je ne sais pas si cela prouve que je ne suis pas très malin ou bien qu’il est vraiment une bête en marketing … Sans doute un peu des deux.
Là, je suis justement en train de lire « le dip ». Ce livre parle d’un sujet que j’aime bien aborder : Comment et Pourquoi on s’accroche alors qu’on est dans une voie sans issue ? Quand doit-on persévérer et quand doit-on renoncer ?
Le tout illustré par de jolies courbes bien visuelles : tout ce que j’aime donc !
Ce thème a déjà été abordé dans ce blog dans deux articles : « la vie secrète des entrepreneurs » et « l’entrepreneur est un pokémon comme les autres » ; c’est pourquoi je vous ferais un petit compte rendu de lecture dans les jours qui viennent.
Sinon dans la littérature classique, sur le thème de la voie sans issue, je ne recommanderais jamais assez: « Le Désert des Tartares» de Dino Buzzati.
A bientôt !

Il faudra donc lire le petit livre Poke the Box – A vous de jouer ! qui sera bientôt disponible en français… 🙂